Joie d'avoir atteint, tous ensemble, Josiane et Pierre, Sylvie et Michel, Janine et moi, le plus haut sommet d'Afrique ; mais déception cruelle de ne pas même entrevoir ces glaciers en sursis qui faisaient le sel de ce voyage...
vers 18 heures... Mais où sont les feuilles d'automne qui, emportées par le vent, en ronde monotone, tombent en tourbillonant, et normalement se ramassent à la pelle ?
Lacs d'Ayous vus des Cornes de Mondeilhs Brêche de Mondeilhs, au lever du jour.
Fort vent du Sud et gros nuages ce dimanche 22 octobre, nous obligent à renoncer à nous engager dans la face nord de l'Ossau. Ce sera pour l'été prochain...
ce jour, 13 octobre, où Grand-Pa (c'est moi) apprend que Camille a fait un premier pas, premier petit pas... qui va être suivi de tant d'autres... dont personne ne connait la mystérieuse destination.
Le glacier de la Brêche de Roland ( ou ce qu'il en reste ) est maintenant percé, comme un vulgaire névé...
Ô rage ! Ô désespoir ! Ô chaleur ennemie ! N'ai-je donc tant marché que pour cette tragédie ? Et ne suis-je blanchi dans toutes ces randonnées Que pour voir en 30 ans flétrir tant de glaciers ?
La grotte Casteret à Gavarnie ( grotte abritant un glacier fossile, au pied de la Brêche de Roland, versant espagnol, à 2600 m d'altitude ) est maintenant fermée par cette grille.